Patte de chien tope dans la main

Les médecines naturelles pour les chiens

A l’heure où certains médicaments et traitements se retrouvent montrés du doigt, il est important de rappeler que les médecines douces peuvent être une bonne alternative pour nos animaux!

 

 

Il est vrai que les médecines dites douces sont souvent sujettes à discussion. Sont-elles aussi efficaces ? Conviennent-elles à l’animal ? Y-a-t-il un effet placebo ? Les discussions vont bon train !

Certains vétérinaires choisissent de se spécialiser en homéopathie, phytothérapie, ostéopathie, acupuncture… afin de pouvoir proposer d’autres traitements aux animaux qu’ils soignent… et surtout à leurs propriétaires ! Cela ne les empêche pas de prescrire aussi des traitements allopathiques. Médecines douces et allopathie se complètent souvent notamment dans les pathologies complexes ou les maladies chroniques.

Les plantes ont des principes actifs qui ont souvent inspiré la fabrication des remèdes et médicaments modernes, l’utilisation des huiles essentielles, des élixirs floraux, etc… est de plus en plus fréquente. Attention cependant à ne pas faire d’auto-médication car les principes actifs sont bien présents et les erreurs peuvent être aussi importantes qu’avec les médicaments traditionnels. L’animal n’est pas un « petit humain », on ne lui applique donc pas nos remèdes de grand-mères sans avoir consulté…
Et contrairement aux idées reçues les effets secondaires existent aussi lorsqu’on utilise des plantes ou qu’on manipule un chien en ostéopathie.

L’intérêt des médecines alternatives réside aussi dans la prise en charge globale de la santé et du bien-être de l’animal, l’équilibre, la santé sur le long terme et on applique l’adage « mieux vaut prévenir que guérir ».

Si l’homéopathie ne pourra jamais guérir un cancer ou un diabète, elle permettra de potentialiser l’effet du traitement et/ou de permettre à l’animal de mieux supporter ce traitement. Pourquoi s’en passer ?

 

Comment trouver un vétérinaire spécialisé?

Toute simplement en demandant à votre vétérinaire de vous orienter, s’il ne peut pas, lui-même, vous proposer de telles médecines, vers un confrère spécialiste dans votre région. Cela ne signifie pas que vous devez changer de vétérinaire mais tout simplement que ces deux vétérinaires vont travailler en collaboration pour le bien-être et la santé de votre animal.